26/03/17 : « Serions-nous aveugles nous aussi? »
4° Dimanche carême-A : Homélie de Vénuste (Jean 9, 1-41).
« Ouvre mes yeux, Seigneur, aux merveilles de ton amour… » Vénuste.
« La rencontre avec la Samaritaine est un exemple de cheminement spirituel. Elle parle de Jésus d’abord comme à un homme, puis comme à un prophète, ensuite comme au messie, puis comme au Christ et finalement comme au sauveur du monde. Elle qui avait peur du regard des autres, devient missionnaire dans son village. La rencontre avec le Christ est toujours une transformation, une récréation, une résurrection. Il vient étancher toutes nos soifs».
19/03/17 : « Seigneur, donne-moi de cette eau »
3° Dimanche carême-A : Homélie de Vénuste (Jean 4, 5-42).
« Bonne montée vers Pâques, vers la Source : avec Lui, il ne s’agit pas de tromper la soif uniquement! » Vénuste.
« La rencontre avec la Samaritaine est un exemple de cheminement spirituel. Elle parle de Jésus d’abord comme à un homme, puis comme à un prophète, ensuite comme au messie, puis comme au Christ et finalement comme au sauveur du monde. Elle qui avait peur du regard des autres, devient missionnaire dans son village. La rencontre avec le Christ est toujours une transformation, une récréation, une résurrection. Il vient étancher toutes nos soifs».
12/03/17 : «Son visage devint brillant comme le soleil»
2° Dimanche carême-A : Homélie de Vénuste (Matthieu 17, 1-9).
« Écoutez-le! » Vénuste.
« Ecouter le Fils de Dieu. Le Père donne pleine autorité à l’enseignement de Jésus. Nos communautés chrétiennes devraient entrer dans la lumière de la transfiguration à travers l’écoute de la Parole lors de nos célébrations dominicales qui seraient ainsi des transfigurations hebdomadaires qui balisent la route de chacun d’entre nous».
5/03/17 : «L’homme ne vit pas seulement de pain»
1° Dimanche carême-A : Homélie de Vénuste (Matthieu 4, 1-11).
« Bon car-aime! » Vénuste.
« la rencontre de Jésus avec l’aveugle-né, comme celle avec la Samaritaine, est un exemple de cheminement
spirituel. Il parle de Jésus d’abord comme « l’homme qu’on appelle Jésus », puis comme un prophète, ensuite comme
« quelqu’un qui vient de Dieu », puis comme « le Fils de l’Homme » et finalement il se prosterne devant lui parce que
« Seigneur ». A l’opposé de l’aveugle qui recouvre la vue, nous voyons l’endurcissement, l’aveuglement qui s’aggrave chez
ceux qui « savent ». Il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. La lumière (Jésus) est venue, mais les hommes ont
préféré les ténèbres. ».