« La maladie peut faire grandir » (2015), par Christian Vinel

CH. VINEL

Un « petit livre » mais très grand par sa profondeur.
D’abord vicaire à la paroisse Saint-Joseph de Waterloo, il y devint vicaire dominical en 1989 et en même temps animateur d’équipe du premier cycle du séminaire diocésain à Bruxelles – jusqu’en 1998. De 1993 à 2002, il fut responsable de la pastorale des vocations pour le Brabant wallon. En 1997, il déménagea à la paroisse Notre-Dame de Basse-Wavre, dont il fut d’abord nommé administrateur et ensuite curé, en 2004, et recteur de la basilique. Depuis 2012, il était membre de l’équipe du service du catéchuménat du Brabant wallon.Christian Vinel, La maladie peut faire grandir. Témoignage et réflexions, Namur, Fidélité, 2015, 141 p.

Résumé

Ce livre relate l’itinéraire d’un prêtre de la cinquantaine marqué par le cancer : le temps du diagnostic, des interventions chirurgicales, de la chimiothérapie et de la fin de vie. Écrit de manière posthume par des amies et amis, cet ouvrage de méditation sur le sens de la maladie et de la mort qui vient montre combien une personne fragilisée peut devenir signe pour d’autres, humainement et dans la foi. Grâce à de très belles photographies ouvrant à la méditation, ces témoignages et réflexions nous font entrer dans le monde d’un malade croyant mais nous invite surtout à l’importance d’être à ses côtés.

Dominique Jacquemin

Ce recueil s’adresse non seulement à des gens qui l’ont
connu, mais aussi à des personnes qui doivent faire face
à la maladie. Qu’à travers ce livre, elles puissent découvrir un chemin d’espérance et de confiance, ainsi que les fruits
qu’une maladie peut contribuer à apporter.

Voici ce que reprend la 4ème page de couverture de ce livre :
« Que me reste-t-il à vivre ? Quelques mois sans doute, sauf
miracle, ce que je n’écarte pas car Dieu reste le Maître de la vie
et de la mort.
Je souhaite ne pas subir d’acharnement thérapeutique ni souffrir.
Je voudrais prendre le temps de revoir ceux que j’aime. Comme
je suis vite fatigué, je me limite à une rencontre par jour, afin de
profiter de leur présence aimante, comme de celle omniprésente
de Dieu.
Je tiens donc à rester ouvert à son Amour dans toutes les petites
choses de la vie. Autrement dit, il est bon de vivre de la joie que
Dieu suscite par sa présence tout au fond de notre cœur. C’est
une « joie imprenable » ! »

Catégories : Textes divers